Confessions
Les Confessions ont lieu 1/2 heure avant chaque messe, sur le lieu de la messe et le mercredi de 9h30 à 11h30 à Gallardon
Le Père Dominique Aubert est au bureau d’accueil de l’église de Gallardon :
- tous les mardis de 9h30 à 11h30
- tous les mercredis de 9h30 à 11h30
- tous les jeudis de 9h30 à 11h30
- tous les vendredis de 9h30 à 11h30
- tous les dimanches avant chaque messe, 10h15-10h45
- ou sur rendez-vous au 07 71 71 13 14
Pourquoi se confesser ?
Peut-être vous demandez vous s’il est encore bien nécessaire aujourd’hui de se confesser. Qu’est-ce que se sacrement peut bien m’apporter ?
Mais vous êtes-vous déjà demandé qu’est-ce que cela peut apporter à Dieu que je me confesse, oui à Dieu !
Vous trouverez dans ce petit feuillet les questions que Dieu aimerait bien vous poser, ce qu’Il aimerait bien vous dire.
Ici, dans cette église de Gallardon, chaque jour avant la messe le prêtre, à qui a été confié la merveilleuse mission de pardonner les péchés au nom de Dieu, est là dans le confessionnal confiant dans la parole même du Christ :
« Là où le péché a abondé, la grâce a surabondé » (Rm,5,20)
« Quand j’ai quitté le confessionnal, dit Sainte Faustine, une joie inconcevable inonda mon âme, de sorte que je m’écartai dans un endroit solitaire du jardin, pour me cacher des sœurs et permettre à mon cœur de s’épancher intérieurement en Dieu. La présence divine me submergea et, en un instant, mon être s’anéantit totalement en Dieu, et je sentis, je discernai alors les Trois Personnes Divines qui demeuraient en moi. Et j’éprouvais une si grande paix dans mon âme que je m’étonnais d’avoir pu tellement m’inquiéter. » (PJ 175)
De quoi étais-tu tellement soucieux que tu redoutes de venir me trouver pour te libérer ?
Quelle honte te retient loin de moi qui suis toute miséricorde, toute pitié et tout amour ?
Etait-ce de t’être laissé déborder par le temps qui passe, et d’avoir négligé de venir te confier à moi ?
La surabondance accumulée des occasions de fautes ?
Ce que tu crois ou qu’on te dit irréparable ?
Moi qui suis tendresse et douceur de cœur, ne pouvais-je pas écouter ce que tu avais à me dire, et que je connaissais déjà si bien de toi ?
Car crois-tu que je me tienne si loin de toi que je ne te connaisse pas ?
Crois-tu que je n’étais pas là, tout près, à tes côtés chaque fois que tu as chuté, que tu as tenté de te relever tout seul, sans me demander d’aide et que tu es retombé encore plus bas ?
J’étais tout près pour que tu m’appelles et tu n’as pas pensé un seul instant à moi.
Si tu ne puises pas à la source vive de ma tendresse, comment, âme chérie de mon âme, pourras-tu te relever, survivre aux épreuves, ne pas être soumise à la tentation et être délivrée du mal ?
C’est pour toi que je suis tombé et retombé en portant le lourd montant de la croix sur le chemin du Calvaire.
C’est sur toi que je pleurais en marchant car tu faisais partie de ceux qui ne m’ont pas suivi dans ce portement, qui n’ont soulevé aucun poids, qui s’étaient enfuis dès les dangers de la nuit, alors qu’ils avaient communié à mon Corps et à mon Sang.
C’est pour toi que mon visage lumineux s’est couvert de poussière et de sang, que mes pieds et mes mains ont été percés, que mon cœur a été ouvert.
Regarde tout cela à présent. Ne détourne plus ton regard de tout cela.
Laisse-toi submerger par ma bonté, car ta beauté intérieure a besoin d’être restaurée, retapissée d’or et de cristal.
Alors tu pourras être comblé de cette émotion pure que je t’offrirai, d’amour vrai, et me voir comme tu ne me voyais plus depuis que ton regard était voilé.
Tu pourras voir mon visage radieux, mon regard bleuté de larmes de joie au-dessus de toi, juste au-dessus de ton âme qui m’est enfin rendue ; et dans laquelle, par ta volonté et par ma grâce, je pourrai de nouveau faire ma Demeure de gloire.
Mais vous êtes-vous déjà demandé qu’est-ce que cela peut apporter à Dieu que je me confesse, oui à Dieu !
Vous trouverez dans ce petit feuillet les questions que Dieu aimerait bien vous poser, ce qu’Il aimerait bien vous dire.
Ici, dans cette église de Gallardon, chaque jour avant la messe le prêtre, à qui a été confié la merveilleuse mission de pardonner les péchés au nom de Dieu, est là dans le confessionnal confiant dans la parole même du Christ :
« Là où le péché a abondé, la grâce a surabondé » (Rm,5,20)
« Quand j’ai quitté le confessionnal, dit Sainte Faustine, une joie inconcevable inonda mon âme, de sorte que je m’écartai dans un endroit solitaire du jardin, pour me cacher des sœurs et permettre à mon cœur de s’épancher intérieurement en Dieu. La présence divine me submergea et, en un instant, mon être s’anéantit totalement en Dieu, et je sentis, je discernai alors les Trois Personnes Divines qui demeuraient en moi. Et j’éprouvais une si grande paix dans mon âme que je m’étonnais d’avoir pu tellement m’inquiéter. » (PJ 175)
De quoi étais-tu tellement soucieux que tu redoutes de venir me trouver pour te libérer ?
Quelle honte te retient loin de moi qui suis toute miséricorde, toute pitié et tout amour ?
Etait-ce de t’être laissé déborder par le temps qui passe, et d’avoir négligé de venir te confier à moi ?
La surabondance accumulée des occasions de fautes ?
Ce que tu crois ou qu’on te dit irréparable ?
Moi qui suis tendresse et douceur de cœur, ne pouvais-je pas écouter ce que tu avais à me dire, et que je connaissais déjà si bien de toi ?
Car crois-tu que je me tienne si loin de toi que je ne te connaisse pas ?
Crois-tu que je n’étais pas là, tout près, à tes côtés chaque fois que tu as chuté, que tu as tenté de te relever tout seul, sans me demander d’aide et que tu es retombé encore plus bas ?
J’étais tout près pour que tu m’appelles et tu n’as pas pensé un seul instant à moi.
Si tu ne puises pas à la source vive de ma tendresse, comment, âme chérie de mon âme, pourras-tu te relever, survivre aux épreuves, ne pas être soumise à la tentation et être délivrée du mal ?
C’est pour toi que je suis tombé et retombé en portant le lourd montant de la croix sur le chemin du Calvaire.
C’est sur toi que je pleurais en marchant car tu faisais partie de ceux qui ne m’ont pas suivi dans ce portement, qui n’ont soulevé aucun poids, qui s’étaient enfuis dès les dangers de la nuit, alors qu’ils avaient communié à mon Corps et à mon Sang.
C’est pour toi que mon visage lumineux s’est couvert de poussière et de sang, que mes pieds et mes mains ont été percés, que mon cœur a été ouvert.
Regarde tout cela à présent. Ne détourne plus ton regard de tout cela.
Laisse-toi submerger par ma bonté, car ta beauté intérieure a besoin d’être restaurée, retapissée d’or et de cristal.
Alors tu pourras être comblé de cette émotion pure que je t’offrirai, d’amour vrai, et me voir comme tu ne me voyais plus depuis que ton regard était voilé.
Tu pourras voir mon visage radieux, mon regard bleuté de larmes de joie au-dessus de toi, juste au-dessus de ton âme qui m’est enfin rendue ; et dans laquelle, par ta volonté et par ma grâce, je pourrai de nouveau faire ma Demeure de gloire.
NOUVEAU pour les Confessions :
